Draft:Boga Sako Gervais

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BOGA SAKO GERVAIS

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DE LA NAISSANCE A L'EXIL CONTRAINT EN ITALIE

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Boga Sako Gervais est né le 27 décembre 1971 à Divo[1], le chef-lieu de la région du Loh-Djiboua[2], dans le Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire, en Afrique occidentale française. Il est marié et père de trois enfants.

Pour ses convictions, notamment son attachement aux valeurs des Droits de l’Homme, ainsi qu’au respect de la souveraineté et de la Constitution de son pays, Boga Sako Gervais a été contraint de s’exiler dès la survenue de la crise post-électorale de 2010-2011.

En effet, les partisans de M. Alassane Ouattara qui étaient soutenus par la communauté internationale, lui reprochaient d’avoir pris position en faveur de M. Laurent Gbagbo, parce que, en tant que Militant des Droits de l’homme, il a soutenu que la décision du Conseil constitutionnel proclamant les résultats définitifs du scrutin présidentiel de 2010 devait être respectée. Boga Sako Gervais martelait partout sur les plateaux télés, la formule latine : « dura lex, sed lex », c’est à dire, la loi est dure, mais c’est la loi !

Aussi, à travers les émissions à la radio-télévision ivoirienne (RTI)[3] où il était souvent l’invité, Boga Sako accusait-il directement l’ONU et la France d’avoir violé la souveraineté de la Côte d’Ivoire en méprisant le Conseil constitutionnel ivoirien et en préconisant une solution militaire, armée, à cette crise électorale, donc politique.

De même, le Défenseur des Droits de l’Homme s’élèvera contre certaines mesures de la communauté internationale visant à asphyxier le régime d’alors et contraindre ainsi le Président de la République Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir, à savoir la fermeture des banques et l’embargo sur les médicaments[4], qui ont causé des dizaines de morts au sein de la population civile[5].

Dès lors, les bureaux de son organisation des Droits de l’Homme, la FIDHOP, furent attaqués et saccagés par deux fois, en mars, puis en avril 2011, et Boga Sako Gervais reçut aussi plusieurs messages de menaces de mort. Sortir de la Côte d’Ivoire pour s’exiler était alors l’option salvatrice et un salut, pour vivre et continuer de dénoncer les injustices, les illégalités et les violations des Droits de l’Homme qui ont régulièrement cours dans le pays.

Mais après l’arrestation du Président Gbagbo le 11 avril 2011[6], Boga Sako était parvenu à braver la peur, en répondant au nom de son ONG à une invitation du cabinet du nouveau Chef de l’Etat Alassane Ouattara reconnu par la communauté internationale, pour assister à une cérémonie de lancement de trois journées de deuil national que ce dernier avait décrétés, du 17 au 19 mai 2011, juste avant son investiture qui était fixée au 21 mai à Yamoussoukro. C’est suite à cette cérémonie qui se déroula sur l’esplanade du Palais présidentiel, en présence des principaux chefs rebelles, que Boga Sako Gervais acta sa décision de sortir du pays pour s’éviter le pire.

Ainsi, grâce à un visa obtenu de façon expresse de l’ambassade d’Italie en Côte d’Ivoire, il embarqua miraculeusement pour Milan, en Italie, dans la nuit du 10 juin 2011, après une brève escale de trois heures à Casablanca.

En dix années d’exil, de 2011 à 2021, grâce aux nombreux livres qu’il a publiés et avec la multitude de conférences, des émissions télévisées ou radiodiffusées qu’il a animées à travers les grandes capitales européennes et aux Etats-Unis, quasiment chaque weekend sur deux, ainsi que par les Déclarations et Communiqués dénonçant toutes violations des Droits de l’Homme, qu’il signe régulièrement au nom de ses structures, Boga Sako Gervais n’a eu de cesse de défendre ses convictions et ses positions en faveur du Président Laurent Gbagbo et du Ministre Charles Blé Goudé[7], jusqu’à leur acquittement définitif à la Cour pénale internationale (CPI) et leur libération totale ; il a toujours défendu la souveraineté de la Côte d’Ivoire son pays et prôné l’autodétermination de l’Afrique son continent, en dénonçant l’impérialisme occidental.

EXPERIENCE PROFESSIONNELLE

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Boga Sako Gervais est titulaire d’un Doctorat Unique ès Lettres Modernes, option Littérature Occidentale l'Université de Bouaké, en Côte d'Ivoire[8].

Il est écrivain, auteur de six livres, des essais, des analyses politiques portant sur les Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, en Afrique ou dans le monde.

Boga Sako est Enseignant-Chercheur à l’Université de Bouaké de Côte d’Ivoire[9], depuis 1998 : il est chargé de cours et de Travaux Dirigés (T.D.) de Roman occidental. Il a été recruté à la fonction publique ivoirienne depuis le 3 janvier 2005 en qualité d’Assistant.

Sur la période de juillet 2007 à juillet 2012, Boga Sako Gervais fait partie des personnalités issues de la société civile ayant été nommées par un décret présidentiel pour être membre de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), pour un mandat non renouvelable de cinq ans. Au sein de cette institution étatique, il a été élu Secrétaire Exécutif sur deux années successives, en 2007 et en 2008.

D’octobre 2003 à septembre 2005, le professeur Martin Bléou, l’ex-président de la Ligue ivoirienne des Droits de l’Homme (LIDHO), nommé Ministre de la Sécurité intérieure dans le gouvernement d’union nationale comprenant les membres de la rébellion, a fait entrer Dr Boga Sako Gervais à son cabinet comme Chargé d’études au Ministère de la Sécurité intérieure de la République de Côte d’Ivoire. Il se chargeait spécifiquement des études et analyses de dossiers relatifs aux Droits de l’Homme ; il représentait le Ministre à divers ateliers et rencontres traitant des Droits de l’Homme ; il était le point focal permanent du Ministère de la Sécurité intérieure pour la Division Droits de l’Homme de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire[10] (ONUCI).

De 2002 à 2010, Boga Sako Gervais a été Attaché de Cabinet à la présidence de l’Université de Bouaké en Côte d’Ivoire. Avec deux autres collègues faisant partie d’une cellule, ils se chargeaient de la gestion des crises estudiantines et des relations avec les associations et syndicats des étudiants, notamment la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire[11] (FESCI) de l’Université de Bouaké : ils étaient les Médiateurs entre l’administration et les étudiants.

FORMATION ACADEMIQUE

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En juin 1992, Boga Sako Gervais obtient un Baccalauréat, série A1, avec la mention Assez Bien, au Lycée Moderne de Bouaflé, en Côte d’Ivoire.[12]

Dès la rentrée scolaire et universitaire suivante, il fera partie de la première promotion des étudiants orientés dans le Centre Universitaire de Bouaké, qui deviendra quelques années après, la deuxième université du pays : l’Université de Bouaké. Cette promotion des étudiants en Sciences humaines sera soumise dans les débuts, à des années de propédeutique, combinant les cours de Lettres Modernes, Philosophie, Sociologie et Linguistique ; ainsi que des unités de valeurs (UV) optionnelles en droit et dans les langues.[13]

En 1995, il obtient une Licence ès Lettres Modernes à l’Université de Bouaké.[14]

En 1996, il décroche une Maîtrise ès Lettres Modernes, toujours à l’Université de Bouaké.

En 1998, il empoche dans cette même Université de Bouaké, le DEA : Diplôme d’Études Approfondies, en Lettres Modernes.

Le 25 juin 2004, Boga Sako Gervais soutient une Thèse de Doctorat unique ès Lettres Modernes, option Littérature Occidentale, avec la Mention Très Honorable et les Félicitations du Jury :

Son sujet de thèse s’intitule : « Le Pouvoir des Femmes dans l’œuvre littéraire de Madame de La Fayette. »[15]

FORMATION DANS LE DOMAINE DES DROITS DE L’HOMME

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1994-2005 : Boga Sako Gervais est membre de la Ligue Ivoirienne des Droits de l’Homme (LIDHO)[16], en Côte d’Ivoire ; régulièrement élu Président de la section-LIDHO de Bouaké, de 1996 à 2005.                 

Mai-Juin 2004 : Certificat de Droit de l’Homme et Culture de la Paix de l’Institut de la Dignité et des Droits Humains[17] (IDDH), au Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP), en Côte d’Ivoire.

Avril-Juin 2005 : Certificat Spécialisé de « Droit et Action Humanitaire » de l’Institut de la Dignité et des Droits Humains (IDDH), au Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP) de Côte d’Ivoire.

Décembre 2005 : Diplôme d’Honneur de l’institut des Droits Humains et du Développement (IDHD) / Fondation Friedrich EBERT en Côte d’Ivoire.

2005-2007 : Président national de l’ONG, Actions pour la Protection des Droits de l’Homme (APDH), en Côte d’Ivoire.

Mai 2006 : Prix Spécial pour la Défense des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, édition 2005-2006 du Prix SAFAM-COM.

November 2008 : Certificate of International Visitor Leadership Program « on US. Human Rights Organizations and Practices » / United States Department of State, Bureau of Educational and Cultural Affairs / USA.

Janvier 2009 : Fondateur et Président de la Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie Politique (FIDHOP).

Novembre 2009 : Participation à la 6e Session de l’EPU (Examen Périodique Universel) à Genève, en Suisse, en tant que Secrétaire Exécutif de la CNDHCI.

Novembre 2015 :  Président-Fondateur du Groupe de Réflexion et d’Actions pour la Démocratie et les Droits de l’Homme en Afrique (GRADDH-AFRIQUE).

PARCOURS ET EXPERIENCES DU MILITANT DES DROITS DE L’HOMME ET ACTIVISME SOCIO-POLITIQUE

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1/ Militantisme pour les Droits de l’Homme

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Avec la LIDHO:

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Octobre 1995 : Membre de l’Observatoire National des Elections (ONE) ; Observateur National des Elections pour la Région de la Vallée du Bandama.    

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Février 1996 : Elu Président de la Section LIDHO de Bouaké ; mandat de 3 ans renouvelé en 1999 et en 2002.

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1999 : Formateur des populations sur le Processus électoral, pour les élections générales de 2000 / projet LIDHO-Union Européenne.

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Avril 2000 : Participation au Séminaire International de Formation des Formateurs, par le Directeur des Elections du Québec.

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2000 : Désigné à l’unanimité par la Société civile locale, Président de la Commission de Supervision du Référendum (COSUR) 2000, pour les Communes et sous-préfectures de Bouaké.

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2003 : Administrateur de projet NOVIB à la LIDHO ; participation à des Enquêtes sur les violations des Droits de l’Homme en période de guerre.

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2003-2004 : Collectif de la Société Civile ivoirienne pour la Paix ; Boga Sako en est membre du Comité Scientifique et de la Cellule de pilotage des activités du Collectif, Formateur et Chef de missions. Ce collectif qui sillonna toute la zone gouvernementale, ainsi que les grandes villes sous contrôle de la rébellion, Bouaké et Korhogo, avait pour principale mission de sensibiliser les populations ivoiriennes à travers les communautés, pour éviter absolument que la guerre entre l’armée républicaine et les rebelles ne bascule dans un conflit intercommunautaire, dans une guerre civile.

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Ce collectif se composait de plusieurs organisations de la société civile, dont la LIDHO, ainsi que des leaders des grandes confessions religieuses du pays, notamment l’Imam Koudouss pour les Musulmans, le Bishop Benjamin Bony pour les Protestants, le Révérend Ediémou Blin Jacob pour les Chrétiens Célestes et un Prêtre représentant le Cardinal de l’Eglise Catholique. Et le responsable et porte-parole de ce Collectif était M. Honoré Guié, qui était le président du GERDDES (Groupe d’étude et de recherche pour la démocratie et le développement économique et social, section Côte d’Ivoire) et connu pour avoir présidé la Commission Nationale Electorale (CNE) qui proclama les résultats de l’élection présidentielle historique de 2000 en Côte d’Ivoire.

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Avec l’APDH:

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En mai 2006, Dr Boga Sako Gervais obtient le Prix Spécial pour la Défense des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, édition 2005-2006 du Prix SAFAM-COM.

En 2006, il est sollicité pour être membre du Comité Scientifique du Forum de Dialogue national qui était initié par la Primature, sous M. Charles Konan Banny, dans le cadre de la sortie de crise en Côte d’Ivoire.

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Avec la FIDHOP:

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Grâce à ses expériences acquises depuis 1994, avec la LIDHO, l’APDH et la CNDHCI, Dr Boga Sako Gervais revenant d’un Pèlerinage en Israël fin 2008, fait appel à des collègues de l’université et à des amis, pour créer la FIDHOP.

La FIDHOP est la Fondation Ivoirienne pour l’observation et la surveillance des Droits de l’Homme et de la vie Politique ; c’est une institution de la société civile, qui est non étatique, non confessionnelle, apolitique et indépendante.

La FIDHOP est créée conformément à la loi n°60-315 du 21 septembre 1960 de la République de Côte d’Ivoire ; elle est enregistrée sous le n°943/PA du 1er avril 2009, selon le Récépissé n°881 PA/SG D1. Le siège de la FIDHOP est fixé à Abidjan en Côte d’Ivoire.

Depuis 2011, lorsque le Président-Fondateur s’est retrouvé en exil en Europe, avec pour résidence en Italie, la FIDHOP a vu se créer plusieurs Délégations et des Sections à travers l’Europe et dans les Amériques.

Ainsi, en dehors du Bureau Exécutif national qui est basé à Abidjan et que Préside le Dr Boga Sako Gervais, ont été créées, jusqu’en fin 2020, les Délégations suivantes : la FIDHOP-Italie ; la FIDHOP-France, (qui a été stratégiquement déclarée en France, à la Préfecture de Paris 15ème, en date du 19 novembre 2019, selon la Loi du 1er juillet 1901 et sous le numéro W751249714) ; la FIDHOP-Royaume-Uni ; la FIDHOP-Belgique ; la FIDHOP-Suisse ; la FIDHOP-Scandinavie, avec pour base à Copenhague, au Danemark ; la FIDHOP-Allemagne ; la FIDHOP-Tunisie ; la FIDHOP-Mexique ; la FIDHOP-Canada, qui dispose de plusieurs Sections : Toronto, Grand Nord Ontario, Montréal, Sudbury, Ottawa ; et la FIDHOP-Etats-Unis.

La FIDHOP se distingue fondamentalement des autres structures des Droits de l’Homme par deux spécificités.

D’une part, elle s’approprie le fondement divin des Droits de l’Homme, tel qu’affirmé dans la Déclaration d’Indépendance des Etats-Unis de 1776 : « Nous tenons pour évidentes pour elles-mêmes les vérités suivantes : tous les hommes sont créés égaux ; ils sont doués par le Créateur de certains droits inaliénables ; parmi ces droits se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

D’autre part, la FIDHOP soutient que la vie politique représentant, surtout en Afrique, le principal foyer source des violations massives des Droits de l’Homme, c’est dans le milieu politique que doivent se focaliser les dénonciations et les sensibilisations, si l’on veut défendre et protéger efficacement lesdits droits dans les sociétés africaines.

Quelques actions marquantes menées avec la FIDHOP :

- Tentative de Médiation avant la grave crise électorale de 2010 :

En prélude à la grave crise électorale puis postélectorale de 2010-2011, avec la FIDHOP, Dr Boga Sako Gervais, à la tête d’une coalition de plusieurs ONG, a entrepris avec ses amis des démarches pour rencontrer les deux parties belligérantes, ainsi que les représentations diplomatiques des grandes puissances en Côte d’Ivoire qui étaient impliquées dans le conflit, notamment les ambassadeurs de la France et des Etats-Unis, ainsi que le Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONU.

Seul le Président de la République d’alors, SEM Laurent Gbagbo, accepta spontanément d’accorder une audience officielle à ce collectif de la société civile, le 20 décembre 2010, au Palais présidentiel. L’autre camp, notamment celui de M. Alassane Ouattara reconnu comme l’élu par la communauté internationale n’a pas daigné donner une suite à la demande d’audience, ni les autres personnalités sollicitées.

- Plainte devant la Cour de Justice de la CEDEAO à Abuja, contre les Chefs d’Etat de la CEDEAO, pour avoir participé à la violation de la Souveraineté de la Côte d’Ivoire et envenimé la crise postélectorale de 2010.

La plainte que la FIDHOP a déposée le 24 décembre 2010 devant la Cour de Justice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), contre la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, a été la première action forte des organisations de la Société civile ivoirienne dès le début de la grave crise postélectorale de 2010-2011 : un acte de patriotisme.

Cette action a permis de débouter les Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, les obligeant du coup à abandonner l’idée de faire intervenir les soldats de la CEDEAO, l’Ecomog, en territoire ivoirien, pour « faire partir le Président Laurent GBAGBO du pouvoir », comme ils le prétendaient. Dès lors, ce seront les ex-rebelles des Forces Nouvelles reconvertis en FRCI (Forces républicaines de CI) par M. Ouattara et son parti, qui seront utilisées pour mener la guerre contre l’armée loyaliste restée fidèle au Président Gbagbo ; ces FRCI bénéficiant du soutien des forces françaises (Licorne) et des Casques bleus.

Cette plainte du 24 Décembre 2010 visait aussi à révéler qu’un complot mondial était monté contre M. Gbagbo. C’est donc tout logiquement que l’ex-Chef de l’Etat déchu et son ex-ministre de la jeunesse ont été acquittés et libérés en 1ère Instance le 15 Janvier 2019 ; et cette décision a été confirmée par la Cour d’appel de la CPI, le 31 Mars 2021.

- Complainte auprès du Vatican pour une vraie réconciliation en Côte d’Ivoire :

Il s’agit d’une initiative prise par le Dr BOGA Sako Gervais, quelques mois après son arrivée en exil, en Italie. En effet, profondément meurtri par les atrocités subies dans son pays, il a jugé important d’adresser une lettre à sa Sainteté le Pape BENOIT XVI, le 10 novembre 2012, à travers les services du Vatican, à Rome, puisque le Pape devait accorder une audience au Chef de l’Etat Ouattara avec son épouse Dominique le 16 novembre 2012.

Dans cette adresse, le Président de la FIDHOP présentait la situation délétère qui prévalait en Côte d’Ivoire à cette époque, au plan sociopolitique et concernant les Droits de l’Homme, quelques mois après le renversement du Président Laurent Gbagbo le 11 avril 2011 et avec l’arrivée très mouvementée, violente, de M. Alassane Ouattara au pouvoir – une situation qui a d’ailleurs perduré sur plusieurs années. Le but de cette démarche étant d’amener le Pape à intervenir pour mettre fin aux actes de vengeance et de haine, les tortures et les emprisonnements des opposants commis sous les nouveaux dirigeants du pays, qui venaient d’être installés par la communauté internationale.

Finalement, le programme officiel qui avait été annoncé fut bouleversé et le couple Ouattara fut reçu plutôt furtivement et nuitamment au Vatican.

- Saisine du Haut-Commissariat des Nations aux Droits de l’Homme à Genève :

Le 1er septembre 2012, des Leaders ivoiriens d’Italie, avec à leur tête le Président-Fondateur de la FIDHOP, ont organisé à Turin, la plus grande Marche Européenne de la Diaspora ivoirienne et africaine consacrée au « Génocide du peuple Wê » de l’ouest de la Côte d’Ivoire. Parce que cette région forestière de l’ouest du pays, grande productrice du cacao dont la Côte d’Ivoire demeure le premier producteur au monde, aura été la plus marquée par la crise postélectorale de 2010-2011, avec les massacres découverts dans la seule ville de Duekoué, le 29 mars 2011, par la Croix Rouge : 814 corps sans vie. Cette manifestation a mobilisé près de cinq mille participants, selon la police et les médias italiens.

Dans le prolongement de cette action d’envergure internationale, Dr Boga introduisit une requête auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme, à Genève, aux noms de toutes les victimes des violations des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire, notamment les victimes des massacres de Duekoué et de Nahibly. Cette saisine fut déposée le 07 octobre 2013.

Il est à noter que cette action a été fut menée par la FIDHOP, en partenariat avec une Ong dite « WEHEBLOA » basée en Suisse.

- Plainte de la FIDHOP devant le Conseil Constitutionnel au sujet de l’inéligibilité de M. Ouattara à la présidence de la République de Côte d’Ivoire en 2015 :

Le 29 juin 2015, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2015, qui était une élection à hauts risques, la FIDHOP résolut, à l’issue d’un Conclave qui s’est tenu les 27 et 28 juin 2015 à Hambourg, en Allemagne, de porter une plainte devant le Conseil Constitutionnel ivoirien, en vue de demander l’invalidation de la candidature de M. Alassane Ouattara à la présidentielle de 2015, en application de l’Article 35 de la Constitution ivoirienne du 1er août 2000, pour éviter à la Côte d’Ivoire une autre crise similaire à celle de 2010.

Comme il fallait s’y attendre, le Conseil Constitutionnel, qui était totalement acquis à la cause du régime du Chef de l’Etat Ouattara, rejeta la requête en menaçant l’huissier chargé de la déposer. M. Alassane Ouattara a été donc déclaré éligible, « candidat dérivé », et il remporta le scrutin présidentiel d’octobre 2015 boycotté par les principaux opposants.

- Plaidoyer de la Diaspora ivoirienne devant le Parlement Européen en faveur de la Libération du Président Gbagbo et de Ble Goude, sous l’égide de la FIDHOP :

Le 11 Avril 2017, en souvenir du 11 avril 2011, qu’il qualifiait de « coup d’Etat de la communauté internationale contre la Démocratie en Côte d’Ivoire », le Président-Fondateur de la FIDHOP, s’est associé à la diaspora ivoirienne et africaine d’Europe pour initier un grand rassemblement devant le Parlement Européen, en vue de présenter un plaidoyer en faveur de la libération du Président Laurent Gbagbo et du Ministre Charles Ble Goude. A la fin du meeting, la Motion fut remise au Président du Parlement Européen.

2/ Les débuts d’un engagement politique affirmé avec GRADDH-AFRIQUE GRADDH-AFRIQUE est le Groupe de Réflexion et d’Actions pour la Démocratie et les Droits de l’Homme en Afrique. C’est une organisation de la société civile constituée sous la forme d’une cellule de réflexions politiques, qui a été créée en novembre 2015, après l’échec constaté de la seule coalition de l’opposition d’alors : la Coalition Nationale pour le Changement (CNC).

GRADDH-AFRIQUE réfléchit sur : comment restaurer la Démocratie, les Droits de l’Homme et l’Etat de droit en Côte d’Ivoire, depuis la tragédie ivoirienne du 11 avril 2011, date de l’arrestation du Président de la République en exercice d’alors, Laurent Gbagbo, ainsi que sa femme Simone Éhivet.

Outre les sujets de réflexion, GRADDH-AFRIQUE agit aussi sur le terrain. C’est ce qui explique que la structure a fait partie du Front du Refus (FDR), un regroupement informel de partis politiques et d’associations de la société civile mis en place pour dénoncer et s’opposer au référendum constitutionnel organisé par M. Alassane Ouattara et son régime en octobre 2016.

GRADDH-AFRIQUE s’est également engagé auprès du Front Populaire Ivoirien (FPI) présidé par son fondateur Laurent Gbagbo, afin qu’une nouvelle coalition de l’opposition puisse être créée ; elle sera baptisée : Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté (EDS).

GRADDH-AFRIQUE se présente donc comme un laboratoire d’analyses des questions sociopolitiques. Il se composait à l’origine de cadres et d’intellectuels africains, surtout des Ivoiriens issus de l’exil pour la majorité d’entre eux, avec les membres du Secrétariat et du Porte-parolat qui eux, étaient en Côte d’Ivoire. Les membres fondateurs de GRADDH-AFRIQUE se présentent comme suit :

Président-Fondateur : Dr Boga Sako Gervais (qui est également le Président-Fondateur de la FIDHOP) ;

Vice-président chargé des Affaires politiques : Simplice Zadi ; Vice-président chargé de la Communication : Claude Franck About ;

Vice-président chargé des finances : Kassoum Fadiga ;

Secrétaire générale et Porte-parole : Pulchérie Édith Gbalet et Nestor Kokora Téti (qui représentait Boga Sako au sein d’EDS pendant la période d’exil) ;

Secrétaires généraux adjoints : Serge Dadie / Josué Guebo ;

Secrétaire à l’organisation : Djahouri Baye.

Dr Boga Sako Gervais, en tant que Président-fondateur de GRADDH-AFRIQUE, est donc l’un des principaux initiateurs et Membre-Fondateur de EDS, Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté, la principale coalition de l'opposition ivoirienne regroupant des partis politiques et des organisations de la société civile, ayant pour référent politique l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo. Cette coalition a été officiellement investie le 20 Avril 2017 à Abidjan.

Il faut préciser que EDS est née sous la direction de feu le Professeur et ex-Ministre d’État, Aboudramane Sangaré, qui fut aussi un membre-fondateur du Front populaire ivoirien (FPI) et l'ami (ou "frère jumeau") du Président Laurent Gbagbo.

Le Président d'honneur de la coalition EDS à sa création était feu l’écrivain et patriarche Bernard Binlin Dadié ; et le Président exécutif en est le Professeur Georges Armand Ouégnin.

Dr Boga Sako Gervais est le cinquième Vice-président de Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté, chargé des questions de Démocratie et des Droits de l’Homme.

Les membres de EDS, selon les objectifs qu’ils se sont assignés, ont mené sans relâche le combat pour la libération des prisonniers politiques ivoiriens de la grave crise postélectorale de 2010-2011, en général, et principalement celle de MM. Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé qui étaient emprisonnés à la Haye.

C’est la coalition EDS qui porta la candidature du Président Laurent Gbagbo lors de l’élection présidentielle controversée du 31 octobre 2020, mais celle-ci fut rejetée par le régime d’Alassane Ouattara au pouvoir.

ŒUVRES ECRITES DE DR BOGA SAKO GERVAIS

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Les Droits de l’Homme à l’épreuve : cas de la crise ivoirienne du 19 septembre 2002, Collection Études africaines, France, éditions l’Harmattan, 2008.

ISBN-10 : 2296052045.

ISBN-13 : 978-2296052048.

La Guerre d’Abidjan n'aurait jamais dû avoir lieu / Et si M. Sarkozy avait trompé le monde entier sur la crise ivoirienne de 2010 ? (Sous-titre) ; France, éditions Pyramide-Papyrus-Presse ; traduit en Italien chez Antéo Editioni, en Italie, 2012.

EAN13 : 2000172054212.

ISBN :978-2-915888-27-0.

Je suis Noir et j’aime le manioc, Collection « Ailleurs », Paris, Gnepa-Éditions, 2014.

ISBN : 978-2-37078-000-3. Afrique Libertés : conditions pour une Afrique libre et émergente, Allemagne, Éditions Universitaires Européennes, 2017.

ISBN 10 : 3639608119.

ISBN 13 : 9783639608113.

Mon Combat pour les Droits et les Libertés, Royaume-Uni, éditions Mary Bro Foundation Publishing, 2017.

ISBN 10 : 0995648166.

ISBN 13 : 9780995648166.

Qui est le PRÉSIDENT de la République ? ; Royaume-Uni, éditions Mary Bro Foundation Publishing, 2019.

ISBN 978-1-9161773-4-5.

ÉMISSIONS ET CONFERENCES

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Émissions : Les Médias, principal moyen de défense et de promotion des Droits de l’Homme!

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Dr Boga Sako Gervais est Consultant-panéliste sur plusieurs chaînes de télévision et de radios dont la télévision panafricaine : AFRIQUE MEDIA ; ainsi que sur de nombreux médias en ligne : OVAJAB, FIDHOP-TV...

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Les dénonciations contre les violations des Droits de l’Homme – et donc la lutte contre l’impunité – se menant efficacement à travers les médias, notamment la télévision, la radio, la presse écrite et les réseaux sociaux, Dr Boga Sako Gervais en a fait, tout au long de sa carrière d’activiste défenseur des Droits de l’Homme, sa meilleure arme de combat.

Ainsi, il s’est révélé au monde comme un brillant et un grand communicateur dans le domaine des Droits de l’Homme. Mais encore plus en Côte d’Ivoire, où sa notoriété a véritablement été fondée avec la crise électorale et postélectorale de 2010-2011 qui a causé plusieurs milliers de morts au sein de la population civile.

On peut citer quelques émissions importantes où Dr Boga Sako était l’invité :

SUR LA TELEVISION AFRICA 24

Une interview prémonitoire réalisée avant le premier tour de l’élection présidentielle du 30 octobre 2010, par Mlle Samantha Ramsamy d’Africa24.

« Si on veut vraiment réconcilier la Côte d’Ivoire, il aurait fallu une nouvelle personne comme Président ; mais hélas ! »

http://www.dailymotion.com/video/xfhnw0_l-interview-boka-sako-gervais-cote-d-ivoire_news


SUR LA RADIO-TELEVISION IVOIRIENNE (RTI)[18]:

1ère Emission « Raison d’Etat » / Dr Boga Sako Gervais est reçu sur le plateau de la célèbre journaliste Awa Ehoura.

« M. Choï a outrepassé ses compétences dans sa mission de certificateur de l’élection ! », soutiendra-t-il.

Cette ‘’Edition spéciale’’ du lundi 6 décembre 2010 de la RTI fut très remarquable et déterminante ; elle ouvrit les séries de débats dits « Raison d’Etat ». En effet, cette émission fut sollicitée par la direction de la RTI, en vue de permettre au Dr Boga de développer et d’approfondir sa déclaration faite deux jours auparavant au palais présidentiel, le samedi 4 décembre 2010, lors de la cérémonie de prestation de serment du Président de la République Laurent Gbagbo devant le Conseil constitutionnel.

Dr Boga Sako Gervais sera le tout premier intellectuel à soutenir et à démontrer, preuves à l’appui, qu’au regard de la Résolution du Conseil de Sécurité des Nations Unies instituant le mandat de Certificateur de l’élection présidentielle de sortie de crise en Côte d’Ivoire (la Résolution 1765, du 16 juillet 2007), le Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONU en Côte d’Ivoire de l’époque, M. Yuan J. Choï, a carrément outrepassé ses compétences. En allant jusqu’à désigner M. Alassane Ouattara comme le vainqueur du scrutin, cet administrateur de l’ONU s’est substitué au Conseil constitutionnel d’un pays souverain !

https://www.youtube.com/watch?v=566Fjbb9Dqw

LES INTERVIEWS DE SIMONETTA :

« Dr Boga Sako Gervais sur Laurent Gbagbo et le droit à la différence. »

Entretien télévisé et réalisé par Mme Nicoletta Fagiolo, le 28 Mars 2013, à Rome et publié le 02 Avril 2013.

https://www.youtube.com/watch?v=8l48qT2tICs

Quelques grandes Conférences animées pendant l’exil :

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Durant son exil, Boga Sako Gervais a été souvent invité à prononcer des conférences ou pour animer des émissions à travers toute l’Italie et dans de nombreuses grandes villes d’Europe, et des Etats-Unis.

En voici quelques exemples, de fin 2011 à mi-2014 : les organisations qui l’ont sollicité, les thèmes traités, les lieux et les dates.

1.   La Communauté des Ivoiriens de Cremona et Provinces, « L’Etat de droit et la situation des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. », Cremona, en Italie, le 13 août 2011.

2.   L’Alliance des Jeunes Patriotes de Côte d’Ivoire, section d’Italie, « La question de l’État de droit et la situation des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. », Pérugia, Italie, le 27 août 2011.

3.   Le Parti Démocratique (PD) italien, section de Parme et la représentation du Front Populaire Ivoirien (FPI) d’Italie, « La situation socio-politique et des Droits de l’Homme en République de Côte d’Ivoire et en Libye. », Parme, Italie, le 1er septembre 2011.

4.   L’ONG italienne ‘’Solidarité Nord-Sud’’, « Tribunal pénal international et résolution des conflits : étude comparative RDC et C.I. », Rome (Italie), 21 octobre 2011.

5.   Le Lycée Alfieri (les classes de Terminales) et la Faculté des Sciences Politiques de l’Université (3ème année) et le Collectif pour le Respect des Institutions en Côte d'Ivoire, « La question des élections en Afrique : la crise post-électorale en Côte d’Ivoire et les violations des Droits de l’Homme. » Turin, Italie, les 4 et 5 novembre 2011.

6.   L’association italienne « Colori e Sapori », « La situation de crise en Afrique : cas des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. » Brescia, Italie, le 17 novembre 2011.

7.   La Région de Toscane et la Communauté africaine, « Côte d’Ivoire, une Tragédie néocoloniale. », Florence, Italie, les 25 et 26 novembre 2011.

8.   L’association italienne « Faremondo », la Région de Toscane et la Communauté africaine, « Les crises et guerres en Afrique : le cas de la République de Côte d’Ivoire. », Bologne, Italie, le 3 décembre 2011.

9.   La FIDHOP-Italie, « Sortie officielle du livre du Dr Boga Sako Gervais : La guerre d’Abidjan n’aurait jamais dû avoir lieu. », Florence, Italie, le 28 janvier 2012.

10.   Trezzano sul Naviglio, Sfera Africa de Cesano Boscone / Africa Forum in Italy, « La problématique des Droits de l’Homme en Afrique subsaharienne, le cas Côte d’Ivoire. », Milan, Italie, le 11 février 2012.

11.   La FIDHOP-Italie et la Communauté ivoirienne, « Dédicace du livre du Dr Boga Sako : La guerre d’Abidjan n’aurait jamais dû avoir lieu. », Parme, Italie, le 17 mars 2012.

12.   Les ONG italiennes : Eurasia et Cesem, « La Lotta per l’Africa (Le combat pour l'Afrique). », Parme, Italie, le 20 avril 2012.

13.   La Communauté congolaise d’Italie, « La crise post-électorale en RD-Congo : une crise à l’ivoirienne ? », Rome, Italie, le 22 avril 2012.

14.   Le Cri Panafricain, « Grande Assemblée générale du Cri Panafricain et dédicace du livre de Dr Boga. », Paris, France, le 28 avril 2012.

15.   L’ONG italienne « Diversi e alora ? », « Droits de l’Homme et droits des Réfugiés. », Florence, Italie, le 12 mai 2012.

16.   La FIDHOP-Italie et Dr Boga, « Comment organiser les Leaders Ivoiriens d’Italie pour une efficacité de la lutte. », Parme, Italie, le 12 mai 2012.

17.   La FIDHOP-Italie et Dr Boga, « Comment organiser les Leaders Ivoiriens d’Italie pour une efficacité de la lutte. », Varèse, Italie, le 30 juin 2012.

18.   Invité de la télévision TELESUD, « L’Invité du jour : à propos de la crise ivoirienne de 2010 », Paris (France), le 4 juillet 2012.

19.   La Communauté ivoirienne, « Les guerres en Afrique : le cas de la République de Côte d’Ivoire. », Brescia, Italie, le 14 juillet 2012.

20.   L’Association Socioculturelle Interafricaine / le FPI et a Communauté ivoirienne d’Italie, « Les crises en Afrique : le cas de la République de Côte d’Ivoire. », Forli, Italie, le 21 juillet 2012.

21.   Le COJEP, « Congrès du COJEP, avec intervention de Charles Blé Goudé en vidéo depuis le Ghana », Paris, France, le 27 juillet 2012.

22.   La FIDHOP-Italie et Dr Boga, « Comment organiser les Leaders Ivoiriens d’Italie pour une efficacité de la lutte. », Perugia, Italie, le 28 juillet 2012.

23.   Boga Sako Gervais participe pour sa première fois à la « Mobilisation de la Diaspora pour réclamer une Justice équitable à la CPI », Hollande, La Haye, le 13 août 2012.

24.   La Plateforme des Leaders Ivoiriens d’Italie initiée par Dr Boga Sako, organisa une « Grande Mobilisation de la Diaspora pour dénoncer le Génocide des Wês commis par les rebelles d’Alassane Ouattara », Turin, Italie, le 1er septembre 2012.

25.   Grande intervention de Boga Sako Gervais au nom de la FIDHOP, à la « Manifestation des Résistants et Patriotes ivoiriens devant le siège du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme », à Genève, en Suisse, le 6 octobre 2012.

26.   Boga Sako Gervais participe à la « Mobilisation de la Diaspora pour réclamer une Justice équitable à la CPI », Hollande, La Haye, le 30 octobre 2012. 27.   La Communauté des Ivoiriens résidant en Suède, « Conférence sur les guerres en Afrique, le cas de la Côte d’Ivoire », Stockholm, Suède, le 10 novembre 2012.

28.   Des Patriotes Ivoiriens de France désignent Dr Boga Porte-parole des Résistants ivoiriens devant une délégation de parlementaires français, au Parlement à Paris, en France, le 27 novembre 2012.

29.   Grande interview de Dr Boga Sako Gervais accordée à la journaliste Nicoletta Fagiolo, « Laurent Gbagbo et le droit à la différence. », Rome, Italie, le 28 mars 2013.

30.   Grande intervention du Dr Boga Sako Gervais, « 11 avril 2011 - 11 avril 13 : 2 ans de captivité du PR Laurent Gbagbo », Turin, Italie, le 13 avril 2013.

31.   EVENTNEWS.TV, Dr Boga Sako et la FIDHOP au Panel des Leaders, « Audiences de confirmation des charges du Pr. Laurent Gbagbo ou le procès de la victime. », Paris-Montreuil (France), 23 mars 2013.

32.   EVENTNEWS.TV : Dr Boga Sako Gervais participe au panel des Leaders de la Diaspora sur « l’audience de confirmation des charges contre le Président Laurent Gbagbo ou le procès de la victime. », Paris-Montreuil (France), le 23 mars 2013.

33.   EVENTNEWS.TV : Dr Boga Sako Gervais participe au panel des Leaders de la Diaspora sur « l’audience de confirmation des charges contre le Président Laurent Gbagbo ou le procès de la victime. », Lyon (France), le 20 avril 2013.

34.   EVENTNEWS.TV, Dr Boga Sako Gervais participe au panel des Leaders de la Diaspora sur « l’audience de confirmation des charges contre le Président Laurent Gbagbo ou le procès de la victime. », Toulouse (France).

35.   FPI du Danemark, « Vérités sur la crise post-électorale de 2010 et propositions de solutions. », Copenhague (Danemark), le 4 mai 2013.

36.   La FIDHOP en partenariat avec BOYA’S Culture de Mme Marie Thérèse Lemarchand, « Conférence sur les guerres en Afrique et investiture de la FIDHOP-France », Paris (France), le 21 juillet 2013.

37.   EVENTNEWS.TV, débat télévisé entre Dr Boga Sako Gervais de la FIDHOP et à M. Adama Diomandé de ADDL, portant sur « le foncier rural en Côte d’Ivoire et la question de la nationalité ivoirienne », France, le 22 juillet 2013.

38.   L’ONG Akonda, en partenariat avec Komboa-Panafrika / FARD / CPAD (Soutien aux réfugiés de Lampedusa), Conférence de Dr Boga sur « Les conflits et les violations des Droits de l’Homme en Afrique, principale cause de l’émigration des jeunes vers l’Occident. », Hambourg (Allemagne), du 26 au 28 juillet 2013.

39.   L’ONG CARAVANE, en partenariat avec Akonda (Soutien aux réfugiés de Lampedusa), Dr Boga participe à la « Grande marche pour les Droits des Réfugiés de Lampedusa », plus de 4000 marcheurs, Hambourg (Allemagne), du 15 au 19 août 2013.

40.   Dr Boga Sako et la FIDHOP avec M. Sylvestro Montanaro (auteur du film « La Francia in nero »), « Débat sur la crise socio-politique de Côte d’Ivoire », Milan (Italie), le 19 septembre 2013.

41.   La FIDHOP-Italie, Dr Boga Sako co-anime une conférence avec Maître Hervé Gouamené, sur « la libération de tous les prisonniers politiques en Côte d’Ivoire » suivie de l’investiture officielle de la FIDHOP-Italie, Parme (Italie), le 21 septembre 2013.

42.   Participation de Dr Boga au Groupe de réflexion, « Perspectives 2015 en Côte d’Ivoire : Tout sauf Ouattara ? », Berlin (Allemagne), le 6 octobre 2013.

43.   Communauté des Ivoiriens de Genève et l’Association internationale pour la défense des Intérêts du Peuple ivoirien dite WEHEBLOA invitent Dr Boga Sako Gervais à participer à la Grande Marche pour la Paix en Afrique et à animer une Conférence sur : « L’Occident dans les crises et guerres en Afrique : cas de la Côte d’Ivoire. », Genève (Suisse), le 12 octobre 2013.

44.   La Mairie de la Commune de Fucecchio, Conférence de Dr Boga portant sur « Causes et conséquences des guerres en Afrique et leur répercussion sur l’Occident. », Florence (Italie), le 19 octobre 2013.

45.   La Communauté des Ivoiriens d’Irlande, « L’Occident dans les graves violations des Droits de l’Homme en Afrique : cas de la Côte d’Ivoire. », Dublin (Irlande), le 26 octobre 2013.

46.   La FIDHOP-Suisse, « L’Occident dans les graves violations des Droits de l’Homme en Afrique : cas de la Côte d’Ivoire. », Zurich (Suisse), le 30 novembre 2013.

47.   La Communauté des Ivoiriens des États-Unis, « L’Occident dans les graves violations des Droits de l’Homme en Afrique : cas de la Côte d’Ivoire. », Charlotte, en Caroline du Nord, États-Unis, du 1er au 30 avril 2014.

48.   FIDHOP-Italie, « Cérémonie de triple dédicace de livres : Steve Beko / Prof. Ballou-Bi / Dr Boga Sako (‘’Je suis Noir et j’aime le manioc’’. », Vérone (Italie), le 21 juin 2014.

49.   FIDHOP-France, « Cérémonie de Dédicace et de Formation sur les Droits de l’Homme », par Dr Boga (‘’Je suis Noir et j’aime le manioc’’. » et la contribution de Prof. Ballou-Bi, Paris (France), le 5 juillet 2014.

50.   Important Message de Paix du Dr Boga Sako Gervais, invité d’honneur des militants PDCI-RDA des Etats-Unis recevant M. Kouadio Konan Bertin dit KKB, « La crise postélectorale de 2010-2011 et ses conséquences. », Rockville, Etat du Maryland, USA, le 6 septembre 2014.

https://www.youtube.com/watch?v=YZfqChq8tLc&t=10s

51.   Désigné Coordonnateur Général pour l’Italie de la Pétition Internationale pour la Libération du Président Laurent Gbagbo, qui avait été initiée par feu le Patriarche Bernard Binlin Dadié et l’ex-Premier Ministre togolais Joseph Kokou Koffigoh,  Dr Boga Sako Gervais et ses amis d’Italie ont réussi à collecter à travers plusieurs villes d’Italie, le plus grand nombre de signatures par pays à l’extérieur de la Côte d’Ivoire, soit 2 138 075 signatures, sur un total général de 26 767 611 signatures recueillies, du 24 juillet au 22 octobre 2016.

52.   En Commémoration du 11 Avril 2011, date de l’arrestation de l’ex-Président ivoirien Laurent Gbagbo et à la tête d’une délégation de la Diaspora ivoirienne d’Europe, Dr Boga Sako rédige une Motion demandant la libération de MM. Laurent Gbagbo et Blé Goudé, qui sera lue et remise au Parlement Européen, à Strasbourg, en France, le 11 avril 2017.

53.   Colloque international organisé par le CACI (Comité d’Actions pour la Côte d’Ivoire) basé aux Etats-Unis, Dr Boga Sako Gervais en est l’invité principal, « Horizon 2020 : pour une Transition démocratique et apaisé en Côte d’Ivoire. », Maryland, USA, du 30 au 31 mars 2018.

54.   En mission pour le compte de la Coalition EDS, Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté, Dr Boga Sako Gervais prononce une Conférence à Washington portant sur « L’impact de l’amnistie des pro-Gbagbo en Côte d’Ivoire sur le procès à la CPI », Maryland, USA, le 14 octobre 2018.

55.   Suite à l’Acquittement du Président Gbagbo et Blé Goudé par le Tribunal de 1ère Instance de la CPI, Dr Boga Sako Gervais est invité par des compatriotes des Etats-Unis à visiter le Centre Martin Luther King à Atlanta, aux Etats-Unis, du 2 au 21 avril 2019.

56.   Au cours de cette mission de 2019 aux Etats-Unis, Dr Boga Sako Gervais a pu visiter avec ses collaborateurs de GRADDH-AFRIQUE les Institutions financières de Bretton Woods, à savoir la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International (FMI), et il eut l’occasion d’être reçu en audience le mercredi 3 avril 2019 par Mme Kristalina Georgieva, qui assurait alors l’intérim de la présidence du Groupe de la Banque Mondiale et qui sera nommée quelques jours après, Directrice Générale du FMI et Présidente du Conseil d’administration, pour un mandat de cinq ans à compter du 1er octobre 2019. 57.   Pour saluer l’Acquittement du Président Laurent Gbagbo et du Ministre Charles Blé Goudé par le Tribunal de 1ère Instance de la CPI, Dr Boga Sako Gervais organisa une « Grande cérémonie de Remerciement de la Diaspora pour les soutiens pendant l’exil », à Parme, en Italie, le 23 février 2019.


References:

COMMISSION NATIONALE DES DROITS DE L'HOMME DE COTE D'IVOIRE : CNDHCI (www.gouv.ci)

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