Émile Sacré (1844–1882) was a Belgian painter, after whom the Prix Émile Sacré was named.[1]
Émile Sacré | |
|---|---|
| Born | Émile Sacré 1844 Belgium |
| Died | 1882 n/a |
| Occupation | Painter |
Émile Sacré's father was Auguste Sacré, an engineer who had invented a machine dividing the bast of hemp and flax with a hatchel (hackle) to make it safe to be spun, and who was manager of the Société de Saint-Gilles linen mill near Brussels.[2][3] Sacré studied at the Académie royale des beaux-arts de Bruxelles from 1866 to 1870 and with the architect Jean-Pierre Cluysenaer.[4] He died at the age of 38. His brother established a triennial prize, along with the Prix Auguste Sacré for engineering in memory of the brothers' father, in a legacy of 1904.[5][6][7][8] The sculptor Charles Van Der Stappen (1843–1910) made a bronze of Émile Sacré which was presented at the exhibition of Les XX in 1884.[9][10][11]
References
edit- ^ Bulletins de la Classe des sciences: 1903-38 -Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. Classe des sciences - 1909 Volume 11 - Page 942 "Un prix perpétuel, sous le nom de Prix Émile Sacré, qui, à l'expiration des trois années suivantes (soit à la lin de la sixième année après mon décès) et du montant des nouveaux intérêts produits à cette date, sera décerné par la Classe des ..."
- ^ Revue universelle: bibliothèque de l'homme du monde et de l'homme Volume 27 1837- Page 271 "Une mécanique pour sérancer le lin a été inventée dernièrement par M. Auguste Sacré, de Bruxelles. Les toiles de Flandre avaient une telle réputation du temps de Colbert, qu'il s'efforça d'attirer par toute sorte d'encouragemens des ouvriers ..."
- ^ Revue belge -1841 Volume 19 - Page 189 "Nous avons également admire les fils mécaniques de la Société de Saint-Gilles, établie près de Bruxelles seulement depuis peu d'années et que dirige M. Auguste Sacré."
- ^ biographie artiste, les oeuvres principales en image - Lettre S "1844-1882, peintre de portraits, de natures mortes et de paysages. Émile Sacré étudie à l'académie royale des beaux-arts de Bruxelles de 1866 à 1870 et chez Cluysenaer"
- ^ Revue de l'administration et du droit administratif de la Belgique 1909- Page 468 [Par testament olographe en date du 5 décembre 1904,] "Désirant, en mémoire de mon regretté père, M. Auguste Sacré, et de mon regretté frère, M. Emile Sacré, fonder, au moyen des intérêts accumulés, les deux prix perpétuels ci-après, je lègue à l 'Académie royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, en priant le ... Trois ans après (neuf années après mon décès) sera de nouveau décerné le prix Auguste Sacré (prix de mécanique) et après douze années de mon décès, le prix Emile Sacré (prix de peinture) et ainsi de suite, de trois en trois ans."
- ^ Chronique de l'art 1883 - Page 283 "... de Bruxelles, dont on sait les heureuses initiatives, vient de faire succéder à l'Exposition annuelle des œuvres de ses membres, une intéressante Exposition des tableaux et études d'un peintre enlevé trop tôt à son art, feu Emile Sacré."
- ^ L'Art moderne 1906 - Volume 26 - Page 309 "Ainsi, parmi les morts, il ne cite ni Raeymackers, l'un des fondateurs de l'Art libre, ni Émile Sacré, ni Guillaume Vogels, ni Louis Crépin, dont la dernière exposition rétrospective nous montra de si délicates impressions, ni Louis Delbeke.
- ^ L'Art moderne -Belgium. Ministère de la communauté française, Centre international pour l'étude du XIXe siècle - 1981 Volume 2 - Page 398 "Fonda de Europa, Calle Sierpès. P.-S. L'on vient de m'apprendre que ManaTia mon Campana sera descendu. Nous verrons bien. Au moment de fermer ma lettre, j'apprends avec douleur et stupéfaction, que ce pauvre Emile Sacré est mort !"
- ^ DEMI-SIECLE DE MECENAT Musées royaux des beaux-arts de Belgique - 1967 "Trois toiles du frère du donateur, le peintre Emile Sacré (école belge 1844-1882) et le buste de ce dernier par Charles Van Der Stappen (école belge 1843-1910). i9i i, inv. 3967 à 3970. Dons de Madame Fernand Saliez-Bautier, Bruxelles."
- ^ Benoît Schoonbroodt Artistes belges de l'Art nouveau (1890-1914) 2008 - Page 153 "L'année suivante, en 1883, la mort d'Eugène Simonis, qui tut son professeur à l'académie, laisse vacant le poste de ... Son buste d'Emile Sacré, présenté à la première exposition des XX de 1884, fait sensation avec sa ligne vive et nerveuse."
- ^ Gisèle Ollinger-Zinque Les XX, La Libre esthétique: cent ans après 1993 - Page 546 "ÉMILE SACRÉ Bronze, 68,5 x 30,5 x 27 (1882) Signature avec dédicace sur un philactère décorant le piédouche"