The Ain Nechma inscriptions, also known as the Guelma inscriptions are a number of Punic language inscriptions, first found in 1837 in the necropolis of Ain Nechma, in the Guelma Province of Algeria (ancient Calama).
Ain Nechma inscriptions | |
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Writing | Punic |
Discovered | 1837 |
By the early 20th century, about 40 such inscriptions had been discovered - they had become well known in Semitic epigraphy due to their unique use of certain turns of phrase and unique form given to some letters of the Punic-Phoenician alphabet.[1]
A number of the most notable inscriptions have been collected in Kanaanäische und Aramäische Inschriften, and are known as are known as KAI 166–169.
The inscriptions are in the Louvre, the Musée archéologique de Narbonne, and other locations.
Initial discovery
editThe first two inscriptions were discovered in 1837 by Jean Guyon.[2] Between 1843-45, Adolphe Hedwige Alphonse Delamare collected a greater number and published them in 1850.[3] Most of the steles were sent to the Louvre, and others to the public garden of the city of Guelma, to private individuals, and to the museum of Constantine, Algeria.[4]
The Guelma inscriptions were initially the subject of studies by scholars such as Auguste Celestin Judas, Heinrich Ewald and Moritz Abraham Levy.[5]
Inscriptions
editTwo types of inscriptions are known: votive inscriptions and funerary inscriptions. The funerary inscriptions, with a few exceptions, show the usual formulaic of neopunic epitaphs. The votive inscriptions, however, contain a unique formula specific to the Ain Nechma inscriptions.[6]
The Delamare inscriptions in the Louvre are known as:
- AO 5107 (Delamare 4 [187])
- AO 5108 (Delamare 5 [187]), on display in room 313 of the Louvre[7]
- AO 5109 (Delamare 2 [187], Lidzbarski 7)
- AO 5110 (Delamare 1 [187], Lidzbarski 6)
- AO 5111 (Delamare 7 [187])
- AO 5112 (Delamare 6 [185], Lidzbarski 5)
- AO 5113 (Delamare 3 [187])
- AO 5114 (Delamare 6 [187])
- AO 5290 (Delamare 18 [178]) on display in room 313 of the Louvre[8]
- AO 5291 (Delamare 9 [178])
- AO 5292 (Delamare 21 [178])
- AO 5293 (Delamare 10 [178])
Others:
- Delamare 9 [185], Lidzbarski 2
- Delamare 7 [185], Lidzbarski 3
Gallery
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Delamare's sketch (plate 185), including the Guelma Punic inscriptions
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Delamare's sketch (plate 178), including the Guelma Punic inscriptions
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A selection of the inscriptions in Lidzbarski's Handbuch der Nordsemitischen Epigraphik
Bibliography
edit- Jean-Baptiste Chabot, Punica XI: Les inscriptions néopuniques de Guelma, 1916
- Chabot, J.B. (1918). Punica. Imprimerie nationale. pp. XI: 57-. Retrieved 2022-10-13.
- Judas, Auguste Celestin (1847). Étude démonstrative de la langue phénicienne et de la langue libyque. Étude démonstrative de la langue phénicienne et de la langue libyque (in French). J. Klincksieck. Retrieved 2022-10-13.
- Judas, Auguste Celestin (1845). "MÉMOIRE Sur plusieurs inscriptions phéniciennes, et particulièrement sur celles qui ont été trouvées en Numidie". Journal Asiatique (in French). Société asiatique. Retrieved 2022-10-13.
References
edit- ^ Chabot, 1916, p.483: "Guelma rappelle le nom et représente le site de l'antique Calama. Dans cette localité et dans la nécropole voisine appelée Ain Nechma, on a recueilli une quarantaine d'inscriptions néopuniques qui forment un groupe spécial, caractérisé par l'emploi de certuines tournures et par la forme particulière donnée à quelques signes de l'alphabet.
- ^ Guyon (1838). Quelques Inscriptions de la Province de Constantine (in French). p. 5. Retrieved 2022-10-14.
- ^ Delamare, Adolphe Hedwige Alphonse (1850). Exploration scientifique de l'Algérie pendant les années 1840, 1841, 1842, 1843, 1844 et 1845: Archéologie. Archéologie et Beaux-Arts (in French). Imprimerie Nationale. Retrieved 2022-10-13.
- ^ Chabot, 1916, p.483: "Les deux premières inscriptions trouvées à Guelma ont été relevées dès 1837 par le Dr Guyon. Pendant les années 1843 et 1845, le capitaine Delamare en recueillit un plus grand nombre; il en a publié d'assez bonnes reproductions, et l'examen des monuments originaus, pour la plupart transportés à Paris, en facilite l'étude. Depuis celle époque, d'autres stèles ont été mises au jour à l'occasion de fouilles faites pour établir des constructions nouvelles. Elles ont été déposées dans le jardin publie de Guelma. Qualques-unes sont aussi passées aux mains de particuliers, et le monument le mieux conservé a été transporté au musée de Constantine.
- ^ Chabot, 1916, p.484: "Les inscriptions de Guelma ont fait l'objet de plusieurs études de la part du docteur Judas, de H. Ewald, de M. A. Levy, à une époque où le déchiffrement des testes néopuniques était encore très incertain. Quelques-unes ont été reprises par P. Schröder (1869) et en dernier lieu par M. Lidzbarski (1898). Nous allons passer en revue tous ces textes, que nous partagerons en deur séries: inscriptions votives et inscriptions funéraires.
- ^ Chabot, 1916, p.484: "Dans les inscriptions funéraires, à part quelques exceptions, on retrouve les formules habituelles des épitaphes néopuniques. Les inscriptions votives, au contraire, renferment une formule propre aux stèles trouvées à Guelma, et dont l'interprétation soulève des difficultés plus faciles à exposer qu'à résoudre."
- ^ ex-voto, Lieu de découverte: Ain Nechma, AO 5108; P 319
- ^ stèle, Lieu de découverte: Guelma, AO 5290