Paul Bernard (1827–1879) was a French composer.
His best remembered work is the song "Ça fait peur aux oiseaux" from the operetta Bredouille, to a libretto by Galoppe d'Onquaire (1805-1867).[1][2]
Songs composed my Paul Bernard:
A
- Air danois, Op.89
- L'amour captif
B
- Badinage, Op.27
- La ballade du page, Op.47
- Ballade, Op.110
- Barcarolle et chanson de 'Fortunio', Op.61
C
- Ça fait peur aux oiseaux, Op.108
- Capriccio, Op.104
- La carriole
- La chanson du puits
- Le chant des feuilles, Op.35
- Charmant caprice
- Consolation, Op.66
D
- Le départ des conscrits, Op.36
E
- Les elfes, Op.25
- Essais pour le piano
- 3 Etudes Caractéristiques
- Evohé
F
- Fantaisie de salon No.1 sur 'Le château de la Barbe-bleue', Op.20
- La faucheuse
- Fleurs et pleurs, Op.36
- Fontaine aux perles, Op.31
G
- Grande valse de salon, Op.86
H
- L'hirondelle du clocher, Op.33
I
- Impromptu, Op.111
L
- Lolita
M
- Marche aux lampions
- Marche ottomane, Op.100
N
- La noisette
O
- L'oiselet et l'amour
P
- Piano Sonata, Op.28
- Plaintes à l'amour
Q
- Quand on s'adore
R
- Romanza, Op.106
S
- Sérénade, Op.39
- Souvenez-vous, Op.88
- Styrienne originale variée, Op.93
- Suite concertante sur 'L'oca del Cairo', Op.91
- Suite Pittoresque No.1
- 2 Suites concertantes sur 'Don Juan', Op.85
- 2 Suites concertantes sur 'Mignon', Op.90
- Sylvana, Op.103
T
- Tarentelle, Op.101
- Transcription variée sur 'La légende de Saint Nicolas', Op.83[3]
References
edit- ^ Musée des familles: lectures du soir: Volume 25 1857 "... l'esprit y a étincelé à l'égal des diamants. Mme Orfifa a donné un opéra nouveau de MM. Galoppe d'Onquaire et Paul Bernard, intitulé Bredouille, simple cadre à un charmant dialogue, à une musique exquise, et au jeu, ...
- ^ Le Ménestrel: Volumes 28-29; 1860 "On se rappelle l'opérette Bredouille, de MM. Galoppe d'Onquaire et Paul Bernard. Cette agréable petite pièce semble vouloir recommencer, comme il y a trois ans, le cours de ses représentations dans les salons parisiens"
- ^ See IMSLP.
External links
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